Nos lacs et plans d'eau savoyards

Dans l'ordre, un plan d'eau à Fréterive, le lac de Sainte Hélène, celui du Bourget et l'étang des Aigrettes .
Les dernières photos sont prises de l'observatoire de Thomas II au Bourget du lac.

Si seulement il pouvait...

Je rêve de posséder une jolie photo de pic noir, si seulement il pouvait s'approcher ne serait-ce qu'une fois, comme son cousin le pic épeiche de la mangeoire.

Sortie d'automne à Val Pelouse

Les belles couleurs automnales étaient au rendez-vous mais pas le soleil.
Une première neige avait blanchi les sommets et les feuilles des plants de myrtilles rougissaient les pentes .

Pas de grands animaux non plus, alors que des empreintes et des crottes nous prouvaient le contraire.
Mais pour voir du cerf ou du sanglier, il faudrait y être presque de nuit.
Pour les casse-noix pas de problème, ils sont là et nous avons tout de même eu la chance incroyable de lever deux tétras lyre dans les arcosses.

Voilà, c'est là qu'ils se tenaient, belle rencontre mais piètres photos !

Du faisan

Même s'il est issu d'élevage, croiser un faisan reste toujours une belle rencontre, son plumage chatoyant, son pas rapide, sa promptitude à se dérober au regard, et son cri caractéristique quand il s'envole, j'essaye de profiter de tout cela à chaque fois.

Le corbeau et le renard

Les photos suivantes sont le souvenir d'un bon moment, après une matinée pourrie où nous étions allés en montagne avec un copain pour ne rien voir, je m'étais arrêtée, sur le chemin du retour, dans un endroit que je connaissais pour les lapins de garenne. Et c'est là que j'ai eu la chance d'observer deux jeunes renards qui jouaient.
Comme Brassens disait de son coin d'parapluie contre un coin d'paradis: je n'perdais pas au change! Pardi!

Autre lieu, autre histoire.
J'étais partie à la chasse avec dans la poche, mon petit compact. Il y avait une bonne cinquantaine de centimètres de neige fraîche ce matin-là, j'avais déjà fait aboyer un chevreuil, observé des mésanges à longue queue, vu un troglodyte mignon, croisé un pied de chamois.
Arrivée devant une clairière que j'affectionne, je plante un arrêt et scrute tous les recoins, et là je crois voir des oreilles, c'est bien cela: un renard finit sa nuit contre le talus, il se dresse sur ses pattes et s'en va sans me quitter du regard.