Grosbec casse-noyaux

Piètres photos du grosbec casse-noyaux qui m'a surpris et que je n'ai vu qu'une fois cet hiver.

Je ne l'affirmerais pas, mais il me semble que c'est la femelle que j'ai sur les deux dernières images.

 

Le grimpereau des bois en vidéo

 

Le grimpereau des bois en photos

Petit oiseau brun au ventre blanc et au bec arqué, il grimpe agilement le long de l'arbre et des grosses branches, même à l'envers pour gagner au vol la base d'un autre arbre où il recommence à visiter le tronc à la recherche de nourriture.

 

Un vol d'étourneaux sansonnets

L'étourneau se déplace en bandes, c'est un bel oiseau pour peu que le soleil l'éclaire. Son plumage noir tacheté de points pâles se pare de reflets vert et violet.

Il possède un large répertoire vocal et quand le vol s'est posée dans le lierre, il était impossible de ne pas le remarquer!

 

Le geai des chênes a trouvé un gland

 

"Le corbeau croasse et l'herbe croît..."

Claude Nougaro chantait:

" Le corbeau croasse et l'herbe croît

Le crapaud coasse et moi je crois

J'ai pas d'apôtre j'ai pas de croix

Je crois en l'autre je crois en moi

E didi didi didi am..."

 

Buse et corneille, pas toujours amis

 

Une buse sur un banc de sable le long de l'Isère

 

Colverts et cincle plongeur

Station thermale des Alpes & séjours thermes | Allevard-Les-Bains (allevard-les-bains.com)

Certains vont à Allevard pour les vertus de son eau, d'autres pour sa situation privilégiée aux pieds des montagnes, j'aime y aller pour l'ambiance qui s'en dégage, pour profiter de la ville et de ses animations, mais surtout pour y voir le cincle plongeur très présent dans ses eaux claires et sur les nombreux rochers arrondis par le courant.

Plutôt dans le bas de la ville ou au lac de la Mirande, les colverts s'y tiennent.

Une fois, un martin-pêcheur, comme à son habitude, m'est passé devant à une allure folle, mais ceci est une autre histoire... il faudrait encore des heures et des heures de patience et d'affût pour le poster ici!

 

Curieuse, remuante et intrépide

Mais non, je n'avais pas rêvé, à peine m'étais garée près du ruisseau qu'il m'avait semblé qu'un oiseau jaune venait de me frôler à travers la vitre.

Une fois sortie de la voiture, j'ai vite compris que ce n'était pas une illusion, la bergeronnette des ruisseaux utilisait mes rétroviseurs comme perchoirs pour passer du ruisseau à la terre ferme.

Comme les autres bergeronnettes, elle balance constamment sa queue, il me semble qu'elle ne tient pas longtemps en place.