11 déc. 2014

Les humains se comptent sur les doigts d'une main

Une fois le Col de l'Arpettaz passé, nous étions en minorité par rapport aux animaux sauvages.
Il y avait Pierre, avec qui je chasse et qui voulait faire une sortie avant l'hiver, un automobiliste venu certainement faire du repérage pour un tir en réserve prochain, et ce courageux cycliste.
Pour être tranquille, il n'y a pas mieux que cette époque, surtout comme cette année où la neige nous a oubliés.


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