21 oct. 2016

Bonjour Brumaire!


C'est le matin, je suis en quête de trouver quelque grand animal à prendre en photo, mais le brouillard est là, il n'y a qu'une solution, le doubler en prenant de la hauteur. A Prodin le ciel est clair, et à mes pieds s'étend une mer de nuages qui a submergé toutes les vallées, émergent nos montagnes, le Grand Arc, l'Arclusaz... et les sapins proches.



Deux heures plus tard, le brouillard est monté encore un peu voilant la table d'orientation et le troupeau de vaches. Le soleil n'est plus très loin, encore un instant et tout sera clair.

2 commentaires:

  1. Quand la lumière, l'humidité et la température sculptent des paysages mouvants et des atmosphères mystérieuses, la photographe, les vaches et leurs spectateurs baignent dans un petit bonheur frais et simple.

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  2. Comme joliment dit, merci, il est vrai qu'être au dessus d'une mer de nuages procure une certaine béatitude.

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Merci pour les commentaires, je lis et je réponds.