26 juil. 2018

Les chevreuils du printemps


Si cet animal n'existait pas, il faudrait l'inventer, tant il est gracieux dans chacun de ses mouvements et tant il anime notre environnement au quotidien.

 Se confondant avec les branches sous lesquelles il se tenait, je ne l'ai pas vu tout de suite.
Bien qu'étant à découvert, je me suis immobilisée et j'ai pu faire cette série de portraits!












 Ci dessus:
De lui, je n'ai que cette photo de valable, trop de troncs entre nous deux. Je suis contente car je voulais depuis longtemps saisir ce moment où le velours se détache des bois.

Ci contre:
Les jours qui suivent, les bois restent un peu rouges, mais le velours n'y est plus.



 Classique vision que j'ai au petit déjeuner, la traversée de la route.


 Celle-ci, je l'ai baptisée " la fille des bois", je l'ai aperçue en contrebas de la route et je l'ai prise depuis ma voiture. Vive nos petites routes de campagne!


 Cette fois, je suis dehors et je les attends, mais les photos ne sont pas meilleures pour autant.


 


 Un bon souvenir que ce matin où nous étions allés au marais du Pontet avec mon voisin Christophe.



Et à nouveau les habitants du Bourget-en-Huile.









Et j'ai gardé le plus vilain pour la fin, ce port d'oreilles est vraiment atypique.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci pour les commentaires, je lis et je réponds.