Piquets, poteaux,barrières, clôtures ...

Le rôle principal des piquets, des clôtures, des barrières est d'intervenir dans l'élevage et la culture.
Ils servent à parquer des animaux domestiques, à éviter des intrusions, à soutenir des plants, des plantations, des arbres , à faire passer du courant électrique...
Dans les photos "nature" ils sont à éviter, Gilles disait que sur une belle photo nature il ne fallait pas voir " que la main de l'homme y avait mis les pieds!"
Pourtant, ils n'effraient ni les animaux sauvages ni les oiseaux qui les utilisent sans discrémination, ils font partie du décor et se révèlent être d'excellents perchoirs.

Rouge-queue, moineau, pie-grièche, geai, s'y posent tour à tour.

Autour des lacs, ils protègent les roselières, les cormorans s'y sèchent les ailes, les mouettes s'alignent, les martin-pêcheurs surveillent les petits poissons dans l'eau, les hérons font leur toilette....

Fils de fer barbelés, halte, le troupeau ne passera pas, mais renards, chevreuils, sangliers passeront quand même, laissant une touffe de poils en souvenir.

Et que serait la vigne sans tuteurs?

Il faut le voir pour le croire

Le monde des insectes est un monde complexe et fascinant , je découvre de nouvelles espèces à chaque saison, certains détails de leur morphologie me laissent interloquée. Après la prise de vue vient l'étape difficile de l'identification .

Vous retrouvez ces photos et d'autres sur mon blog dédié aux insectes:

https://mille-et-une-pattes-2.blogspot.fr/

Je papillonne

Je viens de m'acquitter des photos de papillons de l'été, enfin, en partie, j'ai posté les papillons que j'ai photographiés en Savoie, il me reste ceux que nous étions allés voir vers Die avec Sophie et Michel, à la ferme aux papillons.
Je laisse le lien si le cœur vous en dit d'aller les voir:
https://lechassepapillons2.blogspot.fr/

Sur la route

Début juillet, le mariage d'un petit cousin nous fait sortir de notre trou: direction Lille pour un week-end.
En route, j'ai pris quelques photos de paysage, à travers le pare-brise, car mon compagnon est un ancien routier et un vrai routier ne s'arrête que très, très peu. Il vaut peut-être mieux que lui ait le volant et moi l' appareil photo, car nous serions sans doute encore sur la route!

La plaine a quelque chose de fascinant quand on en a pas l'habitude, l'horizon et des champs à perte de vue, un ciel immense.

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Je guette les bêtes qui pourraient courir à travers champs, les oiseaux posés sur les bottes de paille, je redouble de vigilance dès que j'aperçois un mirador.

Les maisons, les villages, les églises défilent et toujours cet absurde étonnement: comment se fait-il que des gens soient installés justement et y vivent ?

Parfois une halte s'impose, un repas à prendre, un souvenir à ramener, c'est l'occasion de remarquer certains détails: un mur peint, une enseigne à mon goût...