La sittelle torchepot à la mangeoire

Je dirais de la sittelle torchepot qu'elle est déterminée.Quand elle vient à la mangeoire, ce n'est pas par quatre chemins, et quand elle y est, elle défend sa place, puis repart comme elle est venue, le plus souvent sur un arbre proche pour y décortiquer ou enfoncer dans les fentes du tronc une graine, un gland ou même jusqu'à une châtaigne .

L'eau d'Allevard et son cincle plongeur

Le roitelet huppé et son lieu de prédilection

Voilà où le roitelet se sent bien, c'est en forêt, dans les épicéas, les conifères,ce qui ne facilite pas les photos .
En plus, il est tout petit et remuant, se déplaçant beaucoup de branche en branche ou voletant à la manière d'un colibri.

Des mésanges fans d'ortie

Qu'il s'agisse de la mésange à tête noire surprise dans l'ortie royale ( galeopsis tetrahit) ou de la mésange bleue suspendue à une tige de grande ortie, j'en déduis qu'elles y trouvent nourriture à leur goût.

L'automne, déjà relégué au passé

Nous avons eu un bel automne, de belles couleurs et peu de pluie, de quoi faire des photos et d'agréables sorties.

Et plus précisément, des carpophores!

Après avoir vu et revu, la vidéo de " C'est pas sorcier" lors de notre expo de cet été " Nature en Huile", j'ai bien retenu la leçon de Jamy et je ne vous présente plus des champignons, mais des carpophores.
En mycologie, c'est la partie externe du mycète ou champignon, celle qui permet la dispersion des spores en opposition au mycélium, filaments blancs enfouis sous la terre ou dans le bois mort.

Et si j'avais été encore en activité, j'aurais pu m'amuser  à apprendre à compter à mes jeunes élèves avec des photos de coulemelles bien ordonnées: un champignon, deux champignons, trois...

 Version ouverte de la coulemelle ou lépiote élevée

Champignons de couche, là, c'est pour aborder les grands nombres !