Un bel étang que celui de Malseroud à Fitilieu-en-dauphiné

Entre prairies et petit bois, se trouve ce bel étang. Recouvert de nénuphars, scindé en deux par une ligne d'eau libre de végétation, je chercherai plus tard pourquoi. Comme je ne suis qu'à une première approche de ce lieu je me contente de simples observations et de repérages, en espérant pouvoir y revenir encore.
Grace à Christophe qui m'a envoyé un lien vers un livret extrêmement bien fait sur cet espace naturel sensible, je me permets de rajouter quelques photos.

Notamment dans ce livret pédagogique, une explication est donnée sur cette tour en brique.
En 1870, un architecte, Monsieur Donat fait construire un château sur sa propriété, exemple typique des résidences secondaires des demeures nobles des siècles précédents. Malheureusement, pour des raisons financières le château était plus de terre que de pierre (le fameux pisé) et comme dans le conte des trois petits cochons, on imagine la suite...
Voilà pourquoi aujourd'hui, seule la tour émerge de la butte.

Tout le long du chemin qui fait le tour de l'étang et même sur les barbelés qui délimitent les prés, volent des libellules et des papillons.

Un héron cendré surveille l'étang

J'ai découvert cet étang en prospectant dans la campagne des Abrets, non loin de là où réside mon fils. Il s'agit de l'Espace Sensible de l'étang de Malseroud.je compte bien y retourner et en faire profiter mes amis. J'y ai aperçu un héron cendré, des canards, une poule d'eau, un martin pêcheur, des geais et des petits oiseaux dans les arbres de bordure, ainsi que des grenouilles et des libellules.

Cigogne blanche en Isère

Depuis quelques dizaines d'années, l'espèce est présente à l'état sauvage dans le département de l'Isère.

Dans le ciel, un milan plane

Un chocard à bec jaune

 Corvidé de petite taille, bien qu'ici, il soit seul, il est grégaire.
Il vit uniquement en montagne.

Un oiseau au menu

La photo n'est pas suffisamment nette pour voir ce que la buse a attrapé, il me semble que c'est un geai et peut-être un jeune.

Prendre de la hauteur

 Mardi 6 août midi, nous fêtons l'anniversaire d'un cousin au petit Mont-Cenis. Le soleil n'est pas de la fête, la randonnée n'est pas au programme, je prends quelques photos malgré tout.

Comme cet aigle et ces petits oiseaux.

Brume, Marmottes et Epilobes

Dans les ruines du vieux village sous le barrage du Mont-Cenis, les marmottes sont à leur aise, les cachettes sont faciles.

Ce n'est qu'un au-revoir

Dans le précédent article, je me demandais  pendant combien de temps, la pie-grièche resterait encore.
Pendant deux ou trois jours, les jeunes ont tourné autour du chalet, reproduisant les mêmes mimiques que leurs parents, plongeant au sol et remontant sur le piquet ou la branche avec une sauterelle dans le bec, jouant avec les plumes de la queue par exemple, puis plus rien, les voilà disparus.J'en conclus qu'ils sont partis pour regagner leur zone d'hivernage qui s'étend du sud du Kenya jusqu'au sud de l'Afrique.

Il va en falloir du courage pour affronter le voyage et ses dangers.
Je vous attends et quand la mi-mai 2020 arrivera, je serai plus attentive et guetterai le chant caractéristique du mâle qui signalera votre retour.

Pie-grièche écorcheur juvénile

Les jeunes pie-grièches ont quitté le nid, et commencent déjà à chasser comme leurs parents. Je ne sais pas si à partir de ce moment on doit déjà s'habituer à ne plus les revoir avant l'été prochain.