Orchidées des marais

Il faut attendre l'été pour la voir et aller dans les tourbières et les marécages.

 Alors là ?
Je dirais orchis moustique suivi de l'orchis des marais, avec des réserves.

Ici, voici à nouveau l'épipactis des marais mais traitée en noir et blanc.

Rencontre trop matinale

Laie et marcassins

J'observais un chevreuil depuis la maison et je me demandais pourquoi il venait de s'enfuir précipitamment alors que tout était calme.
Mais en tournant mon regard vers la gauche, c'est là que j'ai compris: arrivaient ces sangliers, dommage encore, le jour pointait et pour réussir une photo, il faut de la lumière.

A la torche

Cet été, alors que la nuit était là, je distinguais une masse sombre dans le foin qui n'avait pas l'allure de nos chevreuils habituels, j'ai tenté la photo comme ça puis avec une torche, rien d'artistique.

Les sangliers de montagne

 Cette série n'est pas mieux non plus, je ne m'attendais pas à faire une telle rencontre, les photos sont prises à la volée, les animaux sont rapides, farouches et on ne peut plus fuyants!
Les marmottes ont été plus coopératives.

Chut, je dors !

Considéré comme le meilleur ami de l'homme

 Pixel, un amour de chien, c'est le mien!
Le petit poème qui suit lui va bien, il est gentil avec tout le monde:


                       " LE BIENVEILLANT

Je reconnais toujours les amis de mon maître.
Il les entend venir, il ouvre la fenêtre.
Et moi, dans le jardin, près des rosiers charmants,
J'ajoute à son accueil, ma fête d'aboiements.
Vois, je suis l'épagneul qui n'est qu'un grand panache.
La route familière à notre seuil s'attache,
Et j'entends le bonheur venir dans tous les pas,
Si je fais mon appel franc quand je te découvre:
Mes abois sont le bruit de l'amitié qui s'ouvre."

                            Abel Bonnard de l'Académie Française

La calèche de Pierrot

A la station des Karellis, lors du "Triathlon des Arts", événement que je ne vais pas tarder à poster sur mon blog Album-souvenirs, Pierrot proposait une promenade à calèche au son des grelots de ses chevaux.
Le chien patient, attendait les clients, prêt à céder la place.

 

 

Le gardien de troupeau

Le Patou, chien de protection des troupeaux est devenu partie indissociable d'un tout. De plus en plus nombreux pour contrer les attaques croissantes du loup, il faut maintenant faire avec et adopter la bonne habitude.
S'il n'aboie pas toujours, si on ne le voit pas tout de suite, il est souvent là, se confondant avec les bêtes qu'il défend.
Dans tous les cas, il convient de rester calme, de ne pas courir, de ne pas avoir de gestes brusques et le plus possible de passer à l'écart des moutons ou des clôtures.

Les petites bêtes que je n'ai pas cherchées

A commencer par ces escargots, nombreux en bordure d'un marais, le plus surprenant est que leur corps est noir. Je pense qu'il s'agit de " l'hélice des bois".
Près d'eux, une toute petite grenouille peinait à se dégager d'entre les brins d'herbe.

Une hermine en montagne, belle occasion, mais photo ratée!

Là aussi, l'occasion était belle.Je n'ai pas tout de suite compris de quoi il s'agissait en voyant de loin une tache sombre près d'une flaque. Au 500 mm, j'ai pris la photo et en l'agrandissant j'ai compris qu'il s'agissait d'un écureuil assoiffé venu se désaltérer dans l'eau du chemin, laissant sur le caillou l'empreinte mouillée de ses pattes.

Pluie d'été