21 mars 2018
20 mars 2018
Le vert des forêts, même en hiver
Silence, solitude, recueillement c'est dans la forêt que ces éléments se retrouvent et plus encore quand les jours sont gris et froids..
Le temps n'est pas compté
Le calcul me semble impossible, j'ai dû passer des heures, des jours, une année peut-être ou plus plantée dans la forêt à attendre, à espérer, à observer.
Le plus souvent avec une carabine et en dehors des jours de chasse avec un appareil photo. J'ai dans la tête des images qui se bousculent, dans les oreilles des bruits, celui du vent, de la pluie qui arrive, des bruissements, des craquements, des cris d'écureuils qui se fâchent, des froissements de feuilles de petits rongeurs souvent plus bruyants qu'un passage de grosse bête et des chants d'oiseaux. J'ai souvent sursauté quand une bogue de châtaignes se détachait de l'arbre ou que perdue dans un rêve, un collègue chasseur venait de tirer, mais j'ai rarement trouvé le temps trop long.
Le plus souvent avec une carabine et en dehors des jours de chasse avec un appareil photo. J'ai dans la tête des images qui se bousculent, dans les oreilles des bruits, celui du vent, de la pluie qui arrive, des bruissements, des craquements, des cris d'écureuils qui se fâchent, des froissements de feuilles de petits rongeurs souvent plus bruyants qu'un passage de grosse bête et des chants d'oiseaux. J'ai souvent sursauté quand une bogue de châtaignes se détachait de l'arbre ou que perdue dans un rêve, un collègue chasseur venait de tirer, mais j'ai rarement trouvé le temps trop long.
Dix grammes de charme
Il ne suffit pas d'être imposant pour séduire, le troglodyte mignon dont le poids varie entre huit et treize grammes me fait craquer.
Forêt refuge
Qui dit forêt dit refuge, le chevreuil traverse un pré, vient brouter un peu d'herbe, au printemps la femelle y fera son petit, mais s'il est inquiété c'est toujours vers la forêt qu'il se sauvera, quitte à rester un moment en lisière pour vérifier s'il est poursuivi.
14 mars 2018
Le vautour fauve au centre d'un projet de réintroduction
C'est à Rémuzat dans les Baronnies en Drôme provençale que ce projet a vu le jour. Christian Tessier, que Michel avait invité pour le repas du soir lors de notre week-end à Villeperdrix est un des naturalistes qui en a eu l'idée. Il l'explique très bien dans un article dont je vous mets le lien.
https://auvergne-rhone-alpes.lpo.fr/actions/atlas-naturalistes/atlas-naturalistes-regionaux/atlas-des-oiseaux-nicheurs-de-rhone-alpes/article/vautour-fauve
Du parking, un chemin nous conduit jusqu'au bord de la falaise, là où sont les nichoirs et reposoirs des vautours.
Il est facile de les observer, ils volent à notre hauteur à condition que les ascendances thermiques ou le vent soient là pour les aider à décoller et à planer.
Il est possible aussi de changer de secteur, de monter en crête, leur déplacement n'étant pas cantonné en un seul point.
12 mars 2018
10 mars 2018
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